Les présents déverbatifs en -ā- du latin
Conclusion
Les réflexions qui précèdent immédiatement sont, comme je l’ai dit, assez hypothétiques, et la question de l’origine des différents suffixes -ā- du latin ne saurait être résolue en dehors du cadre comparatif des autres langues indo-européennes. L’aspect le plus important du présent travail, me semble-t-il, est de réinstaurer une vue unitaire des présents déverbatifs en -āre et de rediscuter leur préhistoire, en tenant un plus grand compte de la sémantique qu’on ne l’a fait ces dernières décennies.